La destruction d’une vie sociale, familiale, professionnelle ou matérielle autorise les survivants à réaliser ou à entreprendre ce qu’ils n’auraient jamais osé imaginer quelques instants auparavant. La dimension a changé, la page est vierge. L’esprit n’aime pas le vide. Une autre histoire s’écrira, plus folle, plus risquée, plus désinvolte. Une liberté gagnée sur l’hôtel du grand sacrifice. Un passeport universel pour toutes les destinations en guise de pardon.