Quoi qu’il en soit, que cela soit ainsi !
J’ai pris le mirador et vogué haut,
Jusqu’à ce que par delà mon seul paletot,
Je vis que jamais je ne retrouverais mes trésors.
J’ai pris les flots à droite toute,
Et cela m’a conduit à gauche,
Ainsi va la vie,
Elle traverse l’autre, elle vous fauche.
Ô vagues de pluie,
Vous êtes tempêtes face à mes solitudes.
Et d’où je vous perçois,
D’un seul éclat de moi,
Je reconnais ce que je suis,
Pourquoi je me noie.