Au milieu de la pelouse sèche, un grillon s’était subitement tu.
Les bras légèrement écartés du corps, je tenais mes paumes à plat sur mes cuisses.
La distance qui le séparait du point où mes genoux touchaient la terre était longue de plusieurs longues foulées d’ogre. Je connaissais sa masse, je déduisis son savoir de la qualité de son déplacement : les herbes ne crissaient pas.