Le fait d'avoir verbalisé ma souffrance par écrit a donc provoqué chez lui l'envie de m'aider. Mon entourage n'est peut-être pas si lâche que je le pense, il n'est tout simplement pas doté de mon degré d'empathie gigantal. Sans doute est-il nécessaire de verbaliser plus que de raison avec le commun des mortels qui ne peut lire en quelqu'un que comme dans un livre fermé?