En Iran, les plaisirs et les joies sont toujours graves et sévères, et on n'y goûte qu'en risquant d'être puni par l'autorité. Ni les hommes ni les femmes n'ont la gaieté des Français. Ils n'ont point de liberté d'esprit. La vraie amitié n'existe plus. Les gens sont retirés dans leur famille et, même dans leur maison, ils n'ont point la liberté de goûter aux plaisirs de la vie.