J'ai cru que mon fils était mort. J'ai touché son visage livide, et j'ai senti le miracle de son pouls qui battait encore, implorant un Dieu auquel je n'avais jamais cru - vous ferez comme moi, vous verrez, si un jour le pire vous arrive : vous prierez de tout votre cœur, de toute votre âme avec cette partie de votre cerveau dont vous ne soupçonniez même pas l'existence. Croyez-moi, vous prierez : dans ces moments-là, l'athéisme est un luxe qu'on ne peut pas se permettre.