On ne s'accroche à rien, on n'implore rien, et l'un se précipite dans le néant, comme l'autre dans le vide.
Ai-je réussi, dans les quelques pages qu'on va lire, à montrer que les plus ignorants, comme les plus éclairés, courbés sous la même fatalité, succombent inévitablement, de la même manière, et qu'il est des circonstances brutales où la raison des forts n'est pas plus résistante que la simplicité des humbles ?
Le lecteur en jugera ...