Les théophilanthropes annonçaient un Dieu invisible dont rien n'offrait l'image ; plus leurs dogmes étaient raisonnables, plus ils devenaient absurdes en politique religieuse : le peuple a besoin qu'on l'éblouisse et non pas qu'on l'éclaire.
(Théorie des quatre mouvements et des destinées générales, 1808)