En ce genre, quoi qu'on puisse penser aujourd'hui de son mérite, Greuze est un novateur. Il a fait pour la peinture ce que Sedaine a tenté pour le théâtre. Il a vraiment créé en France la peinture morale que personne avant lui n'avait abordée dans notre pays. On l'a quelquefois rapproché de Hogarth avec lequel, sauf l'intention, il n'a aucun point de ressemblance.