Notre existence, en plus d’être coincée dans l’étau du temps, se retrouve enfermée entre un infiniment petit et un infiniment grand, entre un passé gigantesque et un avenir incertain. L’homme est condamné à observer cette merveille de ses simples yeux et via un angle réduit de cette infinité des possibles. Depuis un instant du temps et sans artéfact, il captera son inspiration de ce qui l’entoure, de la nature et du monde dans un présent qui s’éclipse. Pour le reste, il utilisera un effort d’imaginaire et d’abstraction pour s’en faire une raison.