Un peuple est comme un homme ; Il a son enfance, sa jeunesse, son âge mûr et sa vieillesse. Or, on voit bien que les enfants s'attribuent volontiers des qualités physiques, mais songent-ils à se prévaloir de leurs qualité morales ?
Non ; et la raison est fort simple : c'est que cela demande plus de réflexion que leur âge n'en comporte.