Beaucoup de victimes que j’ai rencontrées ont peur d’être des monstres. (…) Elles ont été contrôlées, et par la suite elles se contrôlent elles-mêmes, sans fin, et elles s’auto-censurent. Et si on leur dit qu’elles sont méchantes elles y croient. Elles ont peur d’être méchantes. (p.47) Muriel Salmona, citée par Charlotte Pudlowski