Un jour, voyant que j’étais prête, Francesco m’avait initiée aussi à l’univers infini des pigments. J’avais découvert que chacun d’eux, à l’instar d’un être vivant, avait son caractère propre, et exigeait donc un traitement particulier quand il s’agissait de le broyer ou de le mélanger avec des huiles, des vernis, de l’eau ou du jaune d’œuf, pour qu’il donne le meilleur de lui-même.