Eh bien non, elle n'avait pas d'enfants, c'était comme ça, rien à y changer. Mais elle avait de quoi s'occuper avec ses vers, et ils la rendaient heureuse. Ils étaient drôlement plus faciles à élever, en plus. Ils se tenaient bien, tranquilles, pas exigeants. On pouvait même les laisser et partir en vacances (si on avait de quoi s'en payer) sans qu'une agence quelconque vienne vous chercher noise. Ils subviendraient à ses vieux jours aussi – pas directement, bien sûr, mais avec les profits tirés de la vente elle pourrait toujours se permettre d'engager quelqu'un pour l'aider. (Stromme)