Je croyais te connaître, j’ai découvert une étrangère le matin du 22 avril, une jeune fille qui masquait son mal-être derrière des rires et des blagues. Une jeune fille qui croyait se soigner avec des drogues légales. Mais je ne t’en veux pas Pauline, tu n’es pas coupable, toi aussi tu es une victime.