L'Ours Staline n'aime pas la poésie. (...) La patte de l'ours pousse loin dans les chambres, les placards. Elle racle.Staline a toujours craint Anna Akhmatova.Il met son fils aux fers, un parmi des millions dans la fournaise. Elle, il ne la touche pas.(...)
Elle continuera d'écrire sur les noces de la douleur et de l'amour.Les poètes sont des monstres d'aimer la vie qui les brise.