Mais la Banca di Roma se trouve en difficulté et il n’y a pas d’autre solution que d’aller demander l’aide de l’État. Mussolini accepte de la renflouer. En échange, il obtient la nomination de fascistes au sein de conseil d’administration et la suspension des crédits accordés au Parti populaire italien et à la Confédération générale italienne de travail, les puissants parti et syndicat catholiques. (p. 269)