Le docteur Pozzi, praticien que l’album de 1949 présente comme « assassiné par un malade », a exercé et est mort à l’hôpital Broca. Il y fut le titulaire de la première chaire mondiale de gynécologie.
Il périt en réalité lorsque le mari d’une de ses patientes, jugeant inesthétique la cicatrice que son épouse devait à l’éminent chirurgien, le lui fit savoir à coup de revolver.