Au cours de mes recherches apparut un vrai mystère. Vrai en cela qu’il s’agissait d’un élément factuel, et non supposé : après la disparition de Jésus, « on » avait voulu faire oublier Marie-Madeleine. La gommer des livres d’histoire. Cela apparaissait de façon incontestable dans plusieurs écrits anciens et était confirmé par tout un faisceau d’indices liés à l’histoire du Christianisme. Texte après texte, je découvrais l’existence d’une véritable volonté d’effacer son souvenir.
Une disparition mémorielle qui avait nécessairement un mobile.