"Sebastiano Mazzoni recherche l'effet choquant : jouant avec les ombres et les lumières, il met en valeur le nombril de la reine nue que le serpent va mordre. Il s'amuse aussi, confondant avec ironie la mort et l'orgasme, le plaisir et la torture". Christian-Georges Schwentzel, Cléopâtre, la déesse-reine, Payot, 2014, p. 233.