Fébrilement, je feuilletai l’ouvrage. Du texte, il ne subsistait plus rien. Jusqu’à la page vingt et un. Les pages qui suivaient étaient brouillées : les lettres, à moitié effacées, semblaient avoir été jetées en désordre sur le papier ; elles ne constituaient plus un seul mot cohérent. C’est seulement vers la page quarante que l’on pouvait reprendre le fil de la lecture.