César courait des risques insensés. L'affaire égyptienne réglée, il aurait dû s'éloigner d'Alexandrie et se préoccuper des partisans de Pompée qui, avides de revanche s'évertueraient à lui barrer le chemin de Rome et du pouvoir absolu, ce pouvoir dont il rêvait, non pour sa propre gloire, déjà bien établie, mais afin d'offrir à son pays la maîtrise du monde.