Ils passaient insouciants, nonchalants, charmeurs, narquois, peut-être un peu cruels, jeunes gens indifférents, sans pour autant jouer Cocteau… Le Temps leur appartenait. Ils ne connaissaient pas encore les larmes. Ils croquaient le ciel et mordaient à la Vie comme on mordrait en un fruit…
Ils attendaient qu’on les aimât.