Quand Françoise réalisa qu'Anne Vargelonne était morte, elle s'enferma dans sa chambre et se mit à pleurer, non pas de peine et de désespoir, mais de douceur, mais de tendresse. Elle était morte, Anne la blonde, Anne la très douce, qui jouait du piano dans une villa blanche au bord de la mer. Elle était morte. Cette fois, c'était vrai. (5)