« (…) Léo remarqua :
– Nous préparons une pièce de théâtre, et le camp tout entier se transforme en scène de théâtre : une ville en toc, avec ses façades et ses vitrines bidons ! » (p. 226)
« (…) une joie illumina le visage du bibliothécaire :
– Vous voyez ? Le Mal ne triomphera pas, au bout du compte.
– Ca, je veux bien le croire. Mais combien serons-nous à voir la fin du cauchemar ? » (p. 257)