S’abandonnant avec langueur au plaisir qui l’entraînait vers l’apothéose de la jouissance, il découvrait la vibration de l’être qui vous transporte au-delà des rivages humains et qui vous dépose aux portes du septième ciel. Jamais il n’avait touché une femme et celle qui se trouvait dans ses bras était délicieuse. Elle consumait sa chair au point qu’il lui était impossible de réfléchir.