Je n’avais jamais pensé à la page blanche, merci Maxime. L’écrire avec Alias devenait une histoire qui serait plus belle, plus tard, dans mon souvenir, que toutes celles que j’aurais vécues. Même s’il s’avérait, un jour, que celle-ci ne signifierait plus grand-chose pour lui. Être émerveillée ou perdue, c’est le tourbillon de la vie. On passe. J’en ai retrouvé plein de petits morceaux, ils me hantent parfois, ou bien me font sourire. Ou bien me serrent le cœur.