- Salut, a fait l’ inconnu. Ton père est là ?
Je me suis souvenu à temps qu’ il était impoli de regarder quelqu’ un fixement comme j’ était entrain de le faire, et je me suis ressaisi. D’ autant que l’homme n’avait pas du tout la même voix que M. Verdier.
- Heu … non, mais il devrait pas tarder. C’ est pour quoi ?
L’ homme a mis sous mon nez un petit bidon du genre de ceux qui contiennent de l’huile de moteur.
- Je lui ai apporté ça. Pour sa voiture.
Je me suis enfin réveillé.
- Ah, oui ! Le problème de transmission.
- C’ est ça. Tu pourras lui donner ?
- Bien sûr !
- Merci.