Mais Horatio refusait obstinément de croire que la lecture puisse rendre à la fois sourd et aveugle. Dès qu'il se plongeait dans un livre, il voyait au contraire une multitude de paysages, d'êtres, de lieux, d'objets et de couleurs. Il entendait une infinité de sons, de musiques et de voix. Et surtout au fil des pages, son coeur battait si fort !