Nationalité : Belgique
Biographie :
Claire de Viron s'est mise en route à la recherche du graal au travers de ses nombreux voyages. Enseignante, mère de quatre enfants, la nostalgie des voyages refait parfois surface. Elle se ressource en lisant.
L'écriture sera une descente dans la mine, un voyage intérieur, une mise en ordre de pensées, une suite de surprises, un rêve accompli.
En 2007, elle a reçu le premier prix de la Francophonie au concours international de la littérature > pour sa nouvelle "Le Loup". D'autres prix suivront. Un recueil de nouvelles "Fracas" est sorti de presse en 2011. La suite logique était un premier roman.
Claire de Viron s'est mise en route à la recherche du graal au travers de ses nombreux voyages. Enseignante, mère de quatre enfants, la nostalgie des voyages refait parfois surface. Elle se ressource en lisant.
L'écriture sera une descente dans la mine, un voyage intérieur, une mise en ordre de pensées, une suite de surprises, un rêve accompli.
En 2007, elle a reçu le premier prix de la Francophonie au concours international de la littérature > pour sa nouvelle "Le Loup". D'autres prix suivront. Un recueil de nouvelles "Fracas" est sorti de presse en 2011. La suite logique était un premier roman.
Source : editions Mon Village
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Citations et extraits (9)
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La différence est là, on pleure un chien, mais un vieux, c’est son silence et sa valeur marchande qui comptent. Pas de sentiment. Dors ou meurs. Endormi, tu ne demandes pas d’attention ni de soins. Mort, on te remplace.
Imaginer que je puisse t'oublier était illusoire. Je ne l'ai jamais tenté. Comment oublier que la chair de ma chair s'épanouissait si près de moi sans connaître le ventre qui l'avait fait naître ?
Bien entendu, on pouvait trouver quelques avantages au départ des anglais, mais en se divisant, n’ouvrait-on pas la porte à une ère de tous les dangers ?
Il ne s’y était pas encore risqué comme s’il craignait de jeter un mauvais sort à l’enfant. A moins qu’il n’estimât ne pas en avoir le droit. Pourtant, il était fait pour être père, elle en était persuadée. Il lui fallait seulement encore un peu de temps pour s’en convaincre. Il devait juste prendre confiance en lui.
Il fouilla dans une pharmacie
et muni d’un flacon
revint vers moi
Ne bouge pas
Trois petites gouttes tombèrent
dans le creux de mes yeux
Regarde-moi, que vois-tu ?
– Un Iroquois
Je me mis à rire
Regarde mieux
Je tombai dans ses bras
qu’il referma sur moi
avec la tendresse d’un père
– Je vois tout l’amour de la terre
pour une étrangère
Mes larmes coulèrent
Il dit :
Tu perçois cela
parce que ce n’est pas ta pensée
mais ton cœur
qui a pris la relève
Qu’il en soit ainsi, toujours
et muni d’un flacon
revint vers moi
Ne bouge pas
Trois petites gouttes tombèrent
dans le creux de mes yeux
Regarde-moi, que vois-tu ?
– Un Iroquois
Je me mis à rire
Regarde mieux
Je tombai dans ses bras
qu’il referma sur moi
avec la tendresse d’un père
– Je vois tout l’amour de la terre
pour une étrangère
Mes larmes coulèrent
Il dit :
Tu perçois cela
parce que ce n’est pas ta pensée
mais ton cœur
qui a pris la relève
Qu’il en soit ainsi, toujours
J’arrive à un point de non-retour dans MA vie, mais dans l’Histoire, il y a toujours un retour !
La vieille génération doit céder le pouvoir et s’atteler à la transmission de l’Histoire.
N’avait-il pas observé dans la vie combien la résilience valait mieux que la rancœur.
Quand on n’a plus d’espérance, on se grise d’illusion.
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