Je connais très bien quelques-uns de ces petits salauds qui ne jurent que par Marcuse ou Deleuze sans d'ailleurs les avoir lus. Experts à culpabiliser les plus faibles, ils ne peuvent prononcer trois mots sans brandir le spectre de la répression, argument commode permettant, sous couvert d'atteinte à leur liberté, de pressurer comme des citrons tout ceux qui les entourent. Cela sans parler d'une exploitation sexuelle dont sont victimes les filles de la communauté et des reproches dont ils abreuvent les autres, censés être seuls responsables d'un échec qu'ils sont les premiers à provoquer.