Comment ne pas songer en voyant le corps de ce cycliste contre le trottoir, à ces vers de P. Eluard dédiés à G. Péri :
"...Un homme est mort qui n'avait pour défense
Que ses bras ouverts à la vie
Un homme est mort qui n'avait d'autre route
Que celle où l'on hait les fusils
Un homme est mort qui continue la lutte
Contre la mort contre l'oubli..."