Mythiques aussi, les passants célèbres du Ritz, les uns exécrables, ou même haïssables, Cocteau, Morand, Göring, les autres franchement sympathiques, Cole Porter, Scott Fitzgerald, Hemingway, mais qu'on imagine un peu ridicules à écluser du whisky dans le bar le plus snob de Paris, surtout Hemingway jouant au «libérateur» de l'hôtel déjà débarrassé de toute présence allemande, y buvant son brandy mitraillette à l'épaule.