N'écrivant que lorsque le coeur m'en disait, souffrant d'une paresse délicieuse, me grisant de lecture et de musique wagnérienne sur un vieux phono, le vivais dans la pauvreté. J'étais heureux quand même puisque j'étais libre. Ce n'est pas la santé qui est le plus précieux des bien ; encore moins l'argent. C'est la liberté.