Est-ce trop demander à ceux par qui le malheur arrive de ne pas laisser écraser ceux qui n'y sont à peu près pour rien mais en sont les premières victimes ? Il ne s'agit pas de générosité à leur égard, mais de réparations pour les dommages causés par les pays riches, les dommages des guerres climatiques et écologiques. (P. 195)