Le parloir, ce n’est pas mieux. On y mâchouille des messes basses, on y grignote des culpabilités, des bonjours et des au revoir malingres. Avec des regards de tuberculeux et des mains qui se décharnent de solitude. On y distord les minutes, souvent trop courtes, souvent trop longues. Et des larmes sincères et des épouses surement déjà maitresses.