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Citation de CREER


CREER
25 février 2013
Le cochon, le sanglier
Pachyderme comme l’éléphant, le porc n’en est pas moins un mammifère omnivore, comme vous et moi, habillé de soie, comme certains d’entre nous. Il fait donc partie de la famille des suidés ainsi que le pécari et le phacochère (à saucisses ?).
La race gauloise était noire comme le porc ibérique, qui en est sans doute un descendant.
Il est souvent considéré comme étant le meilleur du monde, spécialement le « bellota », qui se nourrit de glands. Talonné par le « cul noir » limousin.
Au XIXe siècle, le Large white anglais, rose, plus long, moins rond, supplantera presque partout les races locales. Malgré sa familiarité naturelle avec l’homme, le porc ne fut domestiqué que tardivement ; bien après le mouton, la chèvre ou le bœuf, animaux naturellement transhumants, et qui suivaient l’homme à l’époque où celui-ci se déplaçait sans cesse pour trouver sa nourriture. La domestication du porc a dû attendre la sédentarisation, consécutive aux débuts de l’agriculture.
Alors commença la sélection qui permit de favoriser les sujets développant un train arrière plus conséquent que le train avant, les éloignant ainsi de l’allure générale des sangliers.

L’HOMME EST UN COCHON POUR L’HOMME
Même si le cochon et le sanglier sont inter-féconds, le porc ne descend pas plus du sanglier que l’âne du cheval ou l’homme du singe. Cependant, on dit qu’en tout homme il y a un cochon qui sommeille. C’est ce cochon-là qui pousse l’homme vers la femme, ce qui leur permet de s’accoupler et ainsi de perpétuer l’espèce humaine. Sans cochon qui sommeille, l’espèce humaine s’éteindrait rapidement.
C’est donc grâce au cochon que l’homme descend de l’homme.
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