Ce renâclement au moindre effort se colore souvent du sentiment paralysant qu'on n'aura de toute façon jamais le temps de faire tout ce qu'on a à faire, ni de savoir tout ce qui serait à savoir. Sentiment que j'exprime dans mon jargon par les symptômes CSH et CSS, respectivement empruntés aux expressions espagnoles " cosas sin hacer" et "cosas sin saber" ; choses qui restent à faire, choses qui restent à apprendre.