Microbiote, Microbiome[1] et Génome.
Une nouvelle fois, le pluriel de majesté d’antan se justifie pleinement, si l’on considère que notre « corps » (déjà multiple), loin d’incarner une sorte de manifestation isolée autosuffisante, se trouve majoritairement constitué d’êtres unicellulaires aimants et intelligents, au fort penchant communautariste, forgeant un « microbiote » à visée éminemment adaptative - d’où, in fine, représentatifs d’un efficient « microbiome » ; et, en minorité seulement, composé de cellules originales porteuses du génome personnel, témoignant d’une similaire conscience - elles aussi, douées de liberté, d’autonomie et de mémoire, d’où également aptes à l’enculturation.
Du microbiome au génome, l’architecturation plurilinéaire provoque de si complètes mutualisations que l’on ne séparera plus l’un de l’autre.
Parallèlement, ces rudimentaires êtres et structures s’intriquent largement aux holos environnants – nourrissant de fructueux échanges à tous les Plans, Échelles et Dimensions."
"Nos organismes s’érigent en parfaits miroirs d’un Multivers qui, témoignant concomitamment de qualités fractales et holographiques[1] - par-là globalement intriqué, se montre essentiellement synergétique.
La Toile Cosmique y tisse, spontanément, un gigantesque réseau neuromorphique - intimement ressemblant à notre réseau neuronal (qui ne s’en sera érigé qu’en fidèle reflet).
Dans les deux cas, à la base, quelques données élémentaires mutualisent (omnidirectionnellement et omnidimensionnellement) : ladite cohérente intrication autogénérant, immédiatement, une inexpectée abondance ...