Je me ressemble encore. Ici ou là, on me remet, comme dans ces vernissages dont j’abhorre la hantise ostentatoire, comme dans ces pinacothèques où des cadres supérieurs et des femmes parfumées à l’ambre s’échinent à préserver un peu de leur lustre, et de leur glaçure. Mon corps ne se craquelle pas. Le vernis tient, mais le châssis est défoncé.