Ivresse de la douleur qui est une balustrade, une bouée qui m’arrime à ce monde vertigineux où dégringolent les étourdis et les imbéciles heureux. Mon supplice est le brise-lames de l’imprévisible. Lâcher le symptôme, et son infinie pesanteur, c’est m’évanouir, ou m’écrouler. Le mal, cette limaille qui plombe mon âme, m’évite des errances et des envolées.