Elle avait trouvé assez d’audace en elle pour l’embrasser et avait cru défaillir de plaisir. Lorsque ses lèvres s’étaient scellées à celles de Simon, tout avait disparu autour d’elle. Les hommes auraient pu débarquer dans le bureau, brandissant des mitraillettes qui crachaient des rafales qu’elle ne s’en serait même pas rendu compte.
(J’ai lu, p.208)