Je ne veux rien savoir du chagrin, de l’amour, de l’ennui, je ne veux rien savoir de ces choses-là, de tout ce fatras ordinaire et abscons. Je ne veux croire qu’aux gestes, qu’aux messages que m’envoie Agnès et au silence d’Albert. Je prends ce qui est là. Je n’ai plus de pitié.