Je ne lis pas régulièrement le Westminster Review, mais il y a quelque temps, j’y ai vu un article intitulé « De la vocation de la Femme », qui m’a paru aborder en réflexions aussi pertinentes qu’équitables. Les hommes […] soutiennent […] qu’il ne dépend que de nous d’obtenir l’amélioration de notre condition. Certes, il est des maux auxquels nous sommes les plus à même de remédier ; mais il en est d’autres, non moins certainement, enracinés dans les soubassements mêmes de notre organisation sociale, sur lesquels nos efforts sont sans prise.