Début octobre 186*…
C'était une journée chaude, lumineuse.
Iorgou Raoutou ne savait même plus combien de fois il était sorti dans la véranda. Cette fois, il descendit deux marches de l'escalier pour les remonter aussitôt et s'arrêter un instant, envahi d'une tristesse indéfinissable, comme s'il se trouvait tout à coup sous le charme du paysage familier qui s'étendait à ses pieds.