L'hôpital et les institutions sanitaires qui recueillent le dernier souffle de 70% de la population française constituent un lieu du "mourir" souvent inadapté. En revanche, le développement des soins palliatifs a renouvelé l'intérêt pour la fin de vie avec la préoccupation principale d'améliorer le confort du mourant, facilitant ainsi le deuil des familles.