La procréation féminine renforce-t-elle chez les hommes l'expérience de l'altérité vis-à-vis des femmes ? Ou bien inspire-t-elle le sentiment d'impuissance devant ce pouvoir qu'il ne saurait acquérir ? Leur rappelle-t-elle la proximité entre l'animal et l'humain, pris tous deux dans des processus biologiques mystérieux et largement immaîtrisables ?