Et, une fois encore, elle s'étonna de cette sorte de ravissement où il était plongé. Elle ne comprenait pas cette beauté qu'il trouvait en elle, à toucher son corps nu, cette sorte d'extase de beauté. Seule la passion peut le comprendre, et , quand la passion est absente ou morte, alors le grand coup magnifique que donne la beauté est incompréhensible, et même un peu méprisable; beauté chaude, vivante du toucher, tellement plus profonde que la beauté de la vue...Très loin, au fond d'elle-même, elle sentit palpiter quelque chose de nouveau, émerger une nudité nouvelle...