Comme souvent, on a tendance à se torturer tout seul, à alimenter notre propre tristesse ou désespoir. C'est généralement un cercle vicieux très difficilement évitable quand il est bien établi. Je soutiens Dormy, je rejette cette tension ambiante et je laisse le calme atteindre mon colocataire tourmenté. Des pointes de quiétude apparaissent et se résorbent doucement, de plus en plus doucement.