Son indépendance d'esprit et sa quête métaphysique seront très tôt pris pour des troubles du comportement. Mais, encouragé par une éducatrice de l'établissement publique (Oberlin) où il fut pensionnaire, à Schirmeck la Broques, entre 11 et 15 ans, il découvre différents courants psychologique, l'art concret et des artistes comme Jean Tinguely, Gunther Uecker ou encore Jean Arp.
Plus tard,entre 1983 et 2007, après un bref passage à l’Essec, il s'est auto formé et a exercé plusieurs métiers dans le mentorat, la publicité et la finance. Mais dans toutes ses activités, son fil d'Ariane a toujours été le champ des différentes approches liées aux courants humanistes et aux concepts dits de "développement personnel".
Il a ainsi étudié et pratiqué Rebirth, PNL, AT, Gestalt et a suivi de nombreuses formations auprès de spécialistes des thérapies cognitives et comportementales.
Depuis 2007, il se consacre quasi exclusivement à l'écriture et à la création artistique. Bien qu'il ait commencé la pratique de la peinture très jeune, il n'a jamais voulu officialiser sa démarche ni montrer ses travaux. "Un artiste doit avoir fait les beaux arts" pensait-il.
C'est Bernard Aubertin, rencontré en 2009, qui le convaincra du contraire et l'encouragera à s'exposer. Le 22 septembre 2010, Bernard Aubertin écrira : "Daniel Allemann, le plus doué de mes disciples. Une nouvelle approche du monochrome".
Bien avant de devenir Premier peintre du roi, et de réaliser les décors de la galerie des Glaces à Versailles, Charles Le Brun fut élève de Simon Vouet. De quel tragédien fit-il le portrait en 1642 ?